Immersion au sein d’Atelier Design [4/6]
Ce compte-rendu commence avec un constat frappant : Je suis littéralement à un mois de la fin de mon stage. J’ai l’impression que le temps passe extrêmement vite, mais dans le même temps, j’ai l’impression que la fin de cette expérience est plus lente.
Comme je m’y attendais, la période des fêtes de fin d’année a été assez calme, au niveau boulot.
Pour marquer le passage à l’an neuf (et non l’an 9), Sylvain m’a mis sur un nouveau projet de site web. Je ne peux pas encore expliquer grand chose, à ce stade, mais on va dire que le client a une identité visuelle assez estivale, et ça a vraiment été un kiff de travailler sur le site.
Du coup, j’ai pris conscience que ce n’est pas tellement le développement en tant que tel qui me pose problème, c’est plutôt que j’ai besoin que le contenu me plaise ! Je prends tellement de plaisir à coder ce nouveau projet, que Sylvain me fait remarquer que j’ai énormément gagné en rapidité depuis mon premier projet chez AD, et force est de constater que oui, je suis beaucoup plus rapide qu’auparavant.
Autre point notable, je suis enfin aligné parfaitement avec Sylvain, au niveau méthodologie. Il est très rigoureux dans son travail et sa manière de fonctionner, et il m’a transmis énormément de savoirs. Je suis presque devenu un expert de la méthode “Atomic Design”, de Brad Frost.
Chacun de mes projets est décomposé en différents fichiers, eux-mêmes décomposés en différentes mix-in (un composant réutilisable), elles mêmes décomposées en différentes opérations.
Par exemple, lorsque je reçois le Figma du projet de la part du designer, les unités sont en pixels. Comme les unités que j’utilise en code sont les rem, j’ai une mix-in qui se charge de convertir automatiquement les valeurs que je lui passe en entrée, c’est un gain de temps énorme, à l’échelle de tout un site.
Le mercredi, j’ai demandé à avoir une journée de congé pour aller visiter l’exposition sur David Hockney, aux Beaux-Arts. L’occasion de changer d’air, et de découvrir une grande partie des œuvres de l’artiste. J’en ai aussi profité pour déambuler dans les rues de Bruxelles, encore plongées dans l’esprit de Noël.
Vendredi, mon jour de travail au bureau, il régnait comme un air de nouvel an avant l’heure dans les locaux. Afin de pouvoir profiter de la soirée, les horaires ont été un peu aménagés, et tout le monde est reparti en même temps, se souhaitant par la même occasion le meilleur possible pour cette nouvelle année.
Et puis… Et puis ce fut 2022. En reprenant le travail pour ce premier jour de la nouvelle année, j’en ai profité pour re-souhaiter une bonne année à toute l’équipe, et échanger un peu avec chacun à propos de comment s’était déroulé la soirée.
Pour cette nouvelle semaine, rien de très nouveau. J’ai continué à travailler sur le même site internet, et je m’épanouis pleinement. Je vois bien que je commence à pouvoir aider Sylvain, avec les parties qu’il me donne à coder. En revanche, si il y a bien un point sur lequel je ne progresse pas, c’est Mario Kart. Je suis toujours aussi mauvais qu’à mon arrivée, et mes collègues prennent un malin plaisir à percuter mon kart à deux mètres de la ligne d’arrivée, chaque fois que je suis dans le top 3 !
En parlant de Mario, le 6 janvier, c’était l’Épiphanie. Comme tout le monde ne savait pas aller au bureau ce jour là, on a prévu de faire ça la semaine prochaine… Avec une galette Mario !
Il ne me reste maintenant plus qu’à avoir la fève, et espérer que celle-ci me confère du talent supplémentaire sur le jeu !